La Bibliothèque de Nezumi

Résumé :

Il y a bien longtemps à Higashi, les différentes lignées de bakemono, ces humains porteurs d’esprits animaux et dotés de pouvoirs incroyables, vivaient en harmonie. Mais la guerre les a décimés, et depuis un siècle le clan Odai et les descendants des renards règnent sans partage sur l’archipel, reléguant les autres bakemono aux brumes du passé.

Ayané, jeune disciple de l’Ordre de la Main Pure, se soucie bien peu de ces légendes. Pleine d’énergie mais peu disciplinée, elle aimerait surtout faire ses preuves au combat. Jusqu’au jour où ses supérieures lui assignent une mission très spéciale : partir au service d’un clan prestigieux dans le nord du pays et veiller sur leur hôte, Numié Dayut, une princesse exilée qui cache un lourd secret.

Critique :

Clémence Godefroy a créé un univers extrêmement riche basé sur le folklore japonais.

Si riche que j'ai parfois été un peu perdue face aux différentes « familles » alors que je suis coutumière des fantômes japonais, la lecture risque d'être un peu plus compliquée pour un néophyte.

De plus, je ne me suis pas attachée aux personnages d'Ayané et de Numié qui même s'ils sont très présents dans le roman ne sont pas suffisamment développés pour que le lecture tisse des liens avec eux. Par contre l'arrivée vers la fin du roman de 5 nouveaux personnages me semble très prometteuse pour le prochain tome.

Ce premier tome était une lecture sympathique dont j'ai hâte de découvrir la suite.

 Lu dans le cadre du "Mois de la Fantasy 2019 catégorie Roman Francophone." de Pikiti bouquine.

Résumé :

La nuit, le feu, une grande forteresse assaillie, une créature monstrueuse, un loup terrible, un loup debout... un galoup.

Tel est le cauchemar qui hante Louis, dans son village au bout du monde, près de la Grande Brèche et de sa lueur maudite qui marque la fin du royaume et de toutes les routes...

Ce royaume que l'ombre du Vicomte de Marsac, l'Usurpateur, et de ses terribles barons, Malemort et le Siblaire, ce siffleur infernal, recouvre peu à peu... Mais derrière le simple garçon des montagnes, un autre se cache, plus griffu, plus sauvage, qui attend son heure... Mais cet autre sera-t-il assez fort, assez terrible, pour s'opposer aux ténèbres et à ses émissaires ?

Louis, accompagné par son frère, Séverin, et la Roussotte, ce joli brin de sorcière au caractère impossible, devra partir en quête de ses origines, après qu'une malebeste, une créature venue de la Grande Brèche, ait attaqué le village. Mais les nouvelles vont vite, quand on a des yeux partout, et la chasse infernale de Malemort, le Grand Veneur, le maître des galoups noirs, est déjà en route...

 
Critique :

Le monde créé par l'auteur est extrêmement intéressant et j'ai beaucoup aimé le découvrir au fil de ma lecture.

 L'intrigue quand à elle n'est pas très originale et on devine très vite qui sont les personnages et ce qu'il va se passer.

Je pense que cela vient du fait qu'il s'agisse du premier tome d'une saga (présentant à peine 250 pages) et que ce livre est une introduction à l'histoire qui je l'espère ce complexifiera dans les prochains tomes.

 Ce qui m'a vraiment posé problème est le style de l'auteur.

Jean-Luc Marcastel a écrit son roman comme s'il s'agissait d'une histoire contée le soir près d'un feu de cheminé, le texte présente des termes anciens et des constructions de phrases propres aux récits oraux.

Je pense que cette particularité doit permettre une immersion plus grande mais elle m'a empêchée d'avoir une lecture fluide, j'ai en effet buté sur certains passages me faisant ainsi perdre le fil du récit.

 Lu dans le cadre du "Mois de la Fantasy 2019 catégorie Roman choisi par quelqu'un d'autre." de Pikiti bouquine.

Résumé :

Bonne nouvelle : l’homme idéal existe !
Il ne parle pas : il jase. Il n’embrasse pas : il frenche.
Il ne se déshabille pas : il se criss à poèlle.
Vous l’aurez deviné : il est Québécois.

Critique :

Je me suis beaucoup amusée lors de la lecture de ce roman.

Au Québec, on parle français... enfin presque !

J'ai adoré les quiproquos engendrés par la différence linguistique entre nos deux pays.

Ce roman est une comédie romantique très divertissante (le personnage féminin m'a d'ailleurs fait penser à Bridget Jones) même si j'ai été un peu déçu par la fin.

Résumé :

Après avoir passé toute leur enfance sur l’Île de l’Oubli, Mal, Evie, Jay et Carlos n’ont pas rejeté le luxe et le confort d’Auradon ! Après tout, vivre avec des princes et des princesses, c’est loin d’être aussi terrible qu’ils le pensaient.

Pourtant, lorsqu’ils sont invités en secret à retourner sur l’Île, Mal et ses amis ne peuvent pas s’empêcher de retrouver leurs mauvaises manies.

Mais tout n’est pas exactement comme dans leurs souvenirs. Le danger rôde, et ils vont rapidement devoir unir leurs talents afin de sauver le royaume d’une nouvelle menace, plus sombre et plus mystérieuse encore que les précédentes.

Critique :

L'histoire de ce tome 2 se déroule après le film de Disney « Descendants ».

L'aventure est sympathique et on y retrouve avec plaisir nos jeunes héros.

Il s'agit d'un roman jeunesse qui même s'il est distrayant reste un peu maigre du point de vu scénaristique.

L'intrigue repose sur une bonne idée et le début du roman est prometteur mais sa conclusion, selon moi, a été traitée un peu trop rapidement.

 Lu dans le cadre du "Mois de la Fantasy 2019 catégorie Roman d'une autrice." de Pikiti bouquine.

Résumé :

Un monde de légende où le chevalier errant n'est qu'un pion livré à la toute puissance des dieux anciens...

Un monde où l'épée affronte les sortilèges des premiers âges... Un monde où la pierre parle, l'arbre voit, le dragon veille...

Il y a ceux que la pluie tue... et ceux qu'elle ressuscite. Ceux qui meurent entre les mâchoires des dragons et ceux qui dorment du sommeil de la roche pour oublier le feu du désert.

Il y a les dieux-nains dont les manipulations insensées ont crée deux races ennemies.

Enfin, il y a Boa, l'écuyère muette, et Nath, le chevalier à l'armure molle...

Mais la route des sables est souvent pleine de surprises, même pour ceux qui ne craignent pas la mort...

Critique :

Comme à son habitude, Serge Brussolo a construit un monde extrêmement complexe avec des personnages torturés.

L'écriture est fluide et immersive rendant ce livre très facile à livre.

Le seul bémol étant sa longueur, il ne s'agit pas d'un roman mais plutôt d'une nouvelle, ce qui pour ma part m'a laissé un goût d'inachevé. J'avais envie d'en découvrir plus sur ce monde et de suivre les aventures de Nath plus longtemps pour voir l'évolution de ce personnage.

 Lu dans le cadre du "Mois de la Fantasy 2019 catégorie Roman adapté." de Pikiti bouquine.

Résumé :

Au royaume de Firgaard, les légendes sont interdites: elles sont dangereuses.

Pourtant, le sort d'Asha, princesse solitaire, leur semble étroitement lié. Asha est une tueuse de dragons crainte par tout son peuple: elle est Iskari.

Critique :

Ce roman a été un coup de cœur.

J'ai adoré suivre les aventures d'Asha, c'est un héroïne complexe qui évolue tout au long du roman.

J'ai particulièrement aimé la relation entre les dragons et les humains qui m'a faite penser au film « Dragons ».

La construction du roman est aussi intéressante, l'autrice a insérée entre 2 chapitres un récit des temps anciens contée par Asha ce qui permet de souligner l'importance des histoires dans le royaume de Firgaard.

 Lu dans le cadre du "Mois de la Fantasy 2019 catégorie Un roman avec des animaux fantastiques." de Pikiti bouquine.

Résumé :

Provence.

Une journée de juin comme une autre... jusqu'à ce que tout bascule dans l'horreur. Imaginez que tous vos repères quotidiens ne soient soudain plus que des résidus du passé.

C'est la réalité que Patrick, un agriculteur misanthrope et vieillissant, doit dorénavant affronter dans tout ce qu'elle a de plus terrible.

Et que va-t-il bien pouvoir faire de cette gamine qu'il vient de sauver de ces monstres qui errent dehors ? Sa vie vient de changer à tout jamais et pourtant ce n'est que le début...

Critique :

"Les décharnés" est mon premier roman zombies et mon premier livre de Paul Clément.

Ce fût une très bonne lecture, dès les premières lignes j'ai été happée par l'histoire. L'écriture est fluide et immerssive, j'avais l'impression de regarder une série télévisée.

J'ai particulièrement aimé le coté réel de l'histoire, Patrick est un monsieur tout le monde, il réagit de manière normale aux évènements.

Il n'est pas le leader hyper altruiste prêt a se sacrifié pour sauver le groupe que l'on trouve dans la plupart des récits apocalyptiques ! On est bien loin des héros qu'on retrouve dans de nombreuses séries comme par exemple Walking Dead, les scènes en donc sont réalistes ce qui permet une immersion totale.

Résumé :

Ketterdam – Quartier du Barrel : une ville grouillante de malfrats où tout s’achète si on y met le prix.
Ce principe, personne ne l’a fait autant sien que Kaz Bekker, dit « les Mains Sales ».

Quand le voleur se voit offrir une mission impossible mais qui le rendra riche, il réunit son équipe : un soldat assoiffé de vengeance, un tireur d’élite accro au jeu, un jeune fugueur des beaux quartiers, une espionne défiant les lois de la gravité, et une Grisha aux puissants pouvoirs magiques.

Six dangereux hors-la-loi seuls capables de sauver le monde – s’ils ne s’entretuent pas avant…

Critique :

 "Six of Crows" est un vrai coup de coeur.

J'ai adorer suivre ses adolescents dans leur passionnante aventure au coeur du palais de glace.

Le fait que chaque chapitre soit présenté du point de vu de l'un des membres de l'équipe permet de donner au récit plus de profondeur et surtout de développer la psychologie de tous les personnages.

Car c'est là tout le génie de Leigh Bardugo, elle a doté tous ses personnages (je dis bien TOUS) d'une réélle présence, tous les 6 ont un passé, des sentiments complexes...

 Lu dans le cadre du "Spring Flower Challenge 2019 catégorie Goodbye Winter Hello Spring." de Galleane.

Résumé :

Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d'à côté, dont l'apparence l'agace autant que le tape-à-l'œil de la stèle qu'il fleurit assidûment.

Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s'en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d'autodérision. Chaque fois qu'il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie.

Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis...
C'est le début d'une passion dévorante.

Critique :

Voici une romance sympathique.

L'oposition constante des deux modes de vie et les frictions qui en découlent m'ont faits sourir plus d'une fois.

Même si les deux personnages sont très caricaturés, l'histoire fonctionne bien et le fait de passer d'un point de vu à l'autre à chaque changement de chapitre donne un bon rythme au récit et permet de ne pas se lasser.

Par contre j'ai moyennement aimé la fin qui m'a énormément surprise.

 Lu dans le cadre du "Spring Flower Challenge 2019 catégorie Saison des amours" de Galleane.

Résumé :

Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée.

Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C'est là qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence.... les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.

Critique :

 "Nos étoiles contraires" est un roman qui se lit très facilement. Pour ma part il ne m'a pas émue plus que ça vu que le récit est extrêmement prévisible.

J'ai bien aimé la romance entre Hazel et Augustus ainsi que leurs réactions face à la maladie. J'ai par contre été moins réceptive au discours pseudo-philosophique d'Hazel sur la mort.

 Lu dans le cadre du "Spring Flower Challenge 2019 catégorie Ménage de Printemps" de Galleane.